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La Confession
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154 critiques spectateurs
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benoitG80
3 416 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité
2,5
Publiée le 11 mars 2017
"La Confession" semblait sur le papier une bonne idée d'autant plus que le roman "Léon Morin, prêtre" en est à la source !
Hélas, je n'ai absolument pas vibré avec ces deux acteurs beaucoup trop démonstratifs dans leur physique et dans leurs intentions...
Avoir choisi Romain Duris, plus tout jeune, au look de barbu très tendance et contemporain, avec ce pouvoir de séduction qui crève l'écran face à une Marine Vacth hautaine et d'emblée aussi déterminée dans ses idées et dans son attirance vis à vis de cet homme d'église n'était pas le meilleur choix.
Ce qui ne laisse finalement aucune surprise au spectateur puisque tout semble tellement évident et flagrant au premier regard...
Il aurait fallu au contraire semer progressivement l'interrogation, le doute dans la naissance de cette relation, la suggérer davantage avec toute la retenue que l'époque et le contexte d'occupation l'exigeait...
Une approche plus sensible et délicate entre cet homme et cette femme avait tout lieu d'être !
Il aurait été judicieux de choisir un très jeune prêtre, fragile et inexpérimenté où le trouble se serait indiciblement installé face à la présence de la féminité...
Tout est montré assez lourdement, de manière appuyée jusque dans les dialogues où apparaissent des expressions forcément inusitées dans les années 40 (être canon, se faire allumer, et même le fait de dire "du coup" dans la bouche du prêtre Morin, impensable car étant un véritable tic de langage du XXI ème siècle !)...
Si bien que de nous servir aussi brutalement tous ces ingrédients sur un plateau sans prendre le soin d'y mettre toute l'alchimie et la subtilité nécessaires, rend cette histoire incohérente, voire impossible dans ces conditions.
À titre d'exemple, le fait de pouvoir se rendre aussi facilement chez l'un, chez l'autre en pleine nuit, sans même prévenir de son arrivée, sans taper à la porte est parfaitement inconcevable.
De plus, pour ne rien arranger les personnages jouent pour la plupart faux, récitent leur texte sans conviction aucune et finissent par ne pas être crédibles du tout, comme lors de cet office où Romain Duris insiste si lourdement sur le mot "Amour"...
Là où la sensibilité avait toute sa raison d'être, le réalisateur Nicolas Boukhrief a préféré montrer et démontrer comme s'il avait peur de ne pas se faire comprendre, de ne pas être assez clair sur les sentiments de ces deux êtres.
Dommage vraiment de ne pas avoir su extraire toute la subtilité, toute la complexité de cet amour dont le livre fait parfaitement état, en le résumant ici à des idées toutes faites, à des clichés dont on se serait bien passés.
Cette adaptation intéressante sur le fond, le célibat dans le catholicisme étant toujours d'actualité, aurait juste mérité un autre traitement...
47 17
Charles R
51 abonnés 424 critiques Suivre son activité
3,5
Publiée le 7 mars 2017
Faut-il se souvenir du film de Jean-Pierre Melville, "Léon Morin prêtre", dont Nicolas Boukhrief nous propose un remake ? Ou vaut-il mieux en faire abstraction afin de ne pas céder à la tentation (le mot est de circonstance) de la comparaison ? Aucune ressemblance entre les deux films si ce n'est bien sûr la trame dictée par le roman de Béatrix Beck : durant l'Occupation, une femme communiste et athée dont le mari est retenu prisonnier en Allemagne est fascinée par un jeune prêtre et en vient à se convertir au catholicisme. Rien de scabreux, rien qui puisse ressembler à une provocation, rien qu'un film sur la séduction, une attirance physique présentée du point de vue de la femme superbement incarnée par Marine Vacth, toujours aussi "jeune et jolie" mais dont le réalisateur n'abuse jamais du pouvoir de séduction. S'il y a séduction, c'est le personnage du prêtre qui l'exerce - et Romain Duris fait tout dans ce film pour jouer les tombeurs, à commencer par ce sempiternel sourire qui anime son visage et qui ressemble à une invite amoureuse. De son côté, Marine Vacth joue la carte de la sobriété : pas un geste inutile, pas un regard langoureux même lorsque le désir se fait de plus en plus présent. Et le tout dans une lenteur toute bressonienne qui accompagne comme un cérémonial dépouillé. Chose curieuse : Nicolas Boukhrief, habitué des films d'action, nous donne ici un film contemplatif et d'une grande beauté. Les lumières en particulier évoquent tantôt les clairs-obscurs d'un Georges de La Tour, tantôt telle vue impressionniste d'un village français. En somme, un film qui, s'il n'a pas la puissance que l'on peut attendre pour un tel sujet, n'en demeure pas moins une belle réussite tant par la maîtrise de la mise en scène que par la beauté des images et le jeu impeccable de Marine Vacth.
13 9
pierre72
137 abonnés 367 critiques Suivre son activité
2,0
Publiée le 11 mars 2017
"La confession" est une nouvelle adaptation d'un roman de Beatrix Beck, Goncourt du début des années 50. Une précédente version cinématographique de Jean-Pierre Melville avec Emmanuelle Riva et Jean-Paul Belmondo avait fait date. Nous étions alors au début des années 60.
Je me demande bien, à part un retour certain du religieux en général, ce qui a pu motiver cette nouvelle version. Franchement, cette vague histoire d'amour durant la dernière guerre mondiale entre une athée communiste et un prêtre apparaît bien gnangnan aujourd'hui. On me rétorquera, comme essaie de nous le redire le film, que les plus belles amours sont souvent platoniques. Pourquoi pas ? Soyons romantiques alors !
En regardant de plus près que voit-on ? Que lit-on derrière ces beaux plans agrémentés par deux très bons acteurs ? Encore les vieux poncifs que l'on croyait disparus ! Elle ( prénommée Barny), vit seule avec sa fille, son mari étant prisonnier en Allemagne. Comme toute les femmes du village, le manque d'homme se fait sentir. Et quand elle découvre l'abbé Morin dont toutes ses copines disent le plus grand bien, son sang ne fait qu'un tour. Il est canon ! ( Oui en 40, on parlait comme ça madame !). En plus c'est Romain Duris, cheveux longs, barbe hipster... Il ne lui en faut pas plus pour aller le narguer, opposer sa pensée de mécréante à celle du vendeur d'évangiles. Bon ça marche moyen mais, intuition féminine aidant, en essayant la conversion au catholicisme, elle pense bien pouvoir arriver à mettre le petit Jésus dans la crèche. Las, si la femme n'est finalement qu'une chaudasse prête à tout, le mâle ecclésiastique lui sait résister à l'appel de la chair ... Ca c'est du curé, bu bon, du vrai, la foi chevillée au corps !
Totalement estampillé "Bon pour le caté" et d'ailleurs sponsorisé par "Le pélerin magazine" , le film enchantera "Sens commun". La communiste vacille. Même si cette traînée rêve en fait de tâter le goupillon, la brebis est au bord de rentrer dans le bon bercail. Elle rebroussera chemin en fait ( je ne révèle rien, c'est au début du film ) mais ne sera pas arrivée à ses fins ( ouf !)! Si l'abbé avait enlevé sa soutane comme quelques confrères, sans doute aurait-il réussi... mais là, on sort du chemin balisé des histoires bien pensantes.
Nicolas Boukhrief a certes un peu dépoussiéré l'histoire. Il filme avec un certain détachement cet affrontement et parce qu'il évite presque totalement l'ambiguïté, il ne réussit pas à gommer tous les clichés qui traînaient déjà dans le roman. (Et je vous fais grâce des personnages secondaires, tous plus stéréotypés les uns que les autres). Pourtant, le film parvient quand même à ne pas être rasoir car tous les face à face entre Romain Duris et Marine Vacth, filmés en plans rapprochés et enveloppés par de légers et gracieux mouvements de caméra, sont formidables.
La fin sur le blog
13 10
momo M.
40 abonnés 282 critiques Suivre son activité
1,0
Publiée le 9 mars 2017
Je vais faire une confession : c'est mauvais ! On accroche pas à ce remake de Léon Morin Prêtre de JP Melville qui en 1961, nous avez fait de de cette histoire un film autrement dérangeant. Ça part mal dès le début quand l’héroïne mourante commence à raconter son histoire au jeune prêtre venu faire l’extrême onction. Tout sonne faux, les dialogues, les gens parlent comme aujourd'hui "il est canon !" Non, on ne parlait pas ainsi dans les années 40 ! La reconstitution de l'occupation façon "un village français". Tous les poncifs y sont. Les seconds rôles sont ridicules. Dans la salle on entendait des rires, alors que l'on est loin d'une comédie. Et surtout on s’ennuie ferme... Même Romain Duris avec son petit sourire de séducteur à la Bébel, ne parvient pas à sauver ce film du désastre.
16 13
Yves G.
1 464 abonnés 3 489 critiques Suivre son activité
1,5
Publiée le 14 mars 2018
Au seuil de la mort, Barny appelle un prêtre pour se confesser du lourd secret qu’elle a porté toute sa vie durant. Pendant la Seconde guerre mondiale, sous l’occupation allemande, la jeune et belle communiste, mariée et mère de famille, était tombée amoureuse du curé de son village, le séduisant Léon Morin.
Pourquoi diable ce remake ?
A l’origine de « La Confession », il y a un livre et un film d’un autre âge. « Léon Morin, prêtre », un roman largement autobiographique de Béatrix Beck publié en 1952 et couronné la même année par le prix Goncourt. Le film épnoyme de Jean-Pierre Melville sorti en 1961 avec Jean-Paul Belmondo dans le rôle de Léon Morin et Emmanuelle Riva dans celui de Barny.
À l’époque, le roman comme le film avaient un retentissement que son remake n’a plus guère aujourd’hui. Dans la France de l’immédiat après-guerre, le souvenir de l’occupation allemande était encore vivace. Dans la France de Vincent Auriol ou du général de Gaulle, la conversion d’une communiste athée portait une charge émotive qui ne touchera plus nos sociétés déchristianisées et postcommuniste.
Le remake est d’autant plus anachronique que les deux acteurs jouent un marivaudage hors de propos. Trop beaux, trop séduisants, Romain Duris et Marine Vacth se tournent autour comme deux amants sur le point de se sauter dessus. Faute d’avoir l’austérité janséniste d’Emmanuelle Riva (qui venait de tourner « Hiroshima mon amour » avec Alain Resnais), Marine Vacth ne convainc pas entièrement. Mais c’est Romain Duris qui est le plus navrant, plagiant Bébel alors que le jeune Belmondo n’était encore en 1961 qu’un jeune acteur de la Nouvelle vague bien loin de la caricature franchouillarde dans laquelle il allait sombrer dix ans plus tard.
En réduisant « Léon Morin, prêtre » à l’histoire d’un flirt chaud-bouillant, Nicolas Boukhrieff trahit l’œuvre qu’il adapte et son élan métaphysique.
15 14
Bulles de Culture
134 abonnés 634 critiques Suivre son activité
2,5
Publiée le 8 mars 2017
La Confession utilise cette facilité de narration de la voix-off. Pour autant, le film présente un duo d’acteurs convaincant qui mérite le détour.
7 5
Un visiteur
2,5
Publiée le 9 mars 2017
Film moyen .Les scenes sont tres prévisibles ,L'admiration des jeunes femmes pour ce curé est un peu trop exageré .Beaucoup de clichés sur l'occupation .D'ailleurs on commence à saturer de voir cette periode de l histoire sans cesse reprise dans les films .De plus à un moment donné une des postieres en parlant du curé dit 'Il est canon' ce terme n existait pas du tout en ce temps là .Conclusion.Soit il faut lire ou relire le livre de Beatrix Beck soit Il faut revoir Leon Morin pretre le chef d oeuvre de Melville avec Belmondo et Emmanuelle Rivat qui vient de nous quitter .
13 12
Hervé L
14 abonnés 76 critiques Suivre son activité
3,0
Publiée le 12 mars 2017
Bilan mitigé: le film est intéressant mais on peut regretter que le réalisateur n'ait pas clairement fait le choix d'une oeuvre méditative, en recentrant davantage son film sur les passionnants dialogues entre ce jeune prêtre et cette jeune femme communiste athée. Le contenu de leurs discussions est en effet une véritable réflexion sur la foi et la religion. Hélas, trop de personnages secondaires caricaturaux et d'intrigues accessoires viennent parasiter l'essentiel du film: ces échanges captivants entre un prêtre et une non-croyante, la possibilité d'une conversion. Avec cette question centrale du film autour du prêtre et de la jeune femme: "Aimait-elle véritablement Dieu à travers lui, ou seulement lui à travers Dieu?".
4 2
poet75
272 abonnés 703 critiques Suivre son activité
4,0
Publiée le 10 mars 2017
Si Béatrix Beck (1914-2008) était encore de ce monde, il n'est pas sûr du tout qu'elle applaudirait à cette nouvelle adaptation de «Léon Morin, prêtre», son roman (d'inspiration autobiographique) paru en 1952, pas plus qu'elle n'avait donné son entier satisfecit au film qu'en avait tiré Jean-Pierre Melville dès 1961. Elle s'estimait trahie tout en appréciant le jeu de Jean-Paul Belmondo. Mais la déception étant le lot commun de quasiment tous les romanciers lorsqu'ils découvrent le sort réservé à leur œuvre sur grand écran, on est tout à fait en droit, en tant que spectateurs, d'avoir un avis différent.
Hormis une ou deux faiblesses scénaristiques assez peu importantes, il me semble, quoi qu'il en soit, que cette nouvelle adaptation ne démérite pas par rapport à la première. Romain Duris, tout en se gardant bien évidemment de prendre pour modèle son illustre prédécesseur, n'en réussit pas moins à incarner de manière très convaincante le rôle du prêtre. Quant à Marine Vacth, dans celui de Barny, elle déploie avec finesse une nouvelle facette de son talent d'actrice, bien différente de celles dont elle a fait preuve avec François Ozon ou Jean-Paul Rappeneau.
Pour ceux qui n'ont connaissance ni du roman de Béatrix Beck ni du film de Jean-Pierre Melville, rappelons le cadre de ce récit. Cela se déroule pendant l'Occupation dans une petite ville française à l'heure où arrive le nouveau prêtre chargé du service de cette paroisse. Aussitôt, dans la bourgade, c'est l'effervescence: Léon Morin ne passe pas inaperçu, il est jeune et ne manque ni d'agrément ni de charisme. Tant et si bien qu'on ne parle que de lui. Il en est de même à la Poste où toutes les employées n'ont que son nom à la bouche, ce qui agace considérablement Barny, une communiste affirmant volontiers son athéisme et qui élève seule sa fille, son mari ayant été retenu prisonnier en Allemagne. Elle s'irrite tellement de n'entendre parler que du prêtre qu'elle se résoud à se rendre à l'église et à lui parler au confessionnal, non pour lui avouer ses fautes bien sûr mais, au contraire, pour lui faire savoir qu'elle s'oppose à ses convictions. Or la réaction de Léon Morin ne s'accorde nullement avec les préjugés qu'elle pouvait avoir: non seulement le prêtre ne se formalise pas, mais il l'invite à lui rendre visite au presbytère afin de lui remettre un livre (ce sera «Les quatre Evangiles») et d'aller plus avant dans leur dialogue. Commence alors une série d'entrevues et d'échanges qui bouleverseront le cœur et l'esprit de la jeune femme et, sans doute aussi, ceux du prêtre lui-même.
Il faut souligner la qualité d'écriture des dialogues de ce film. Je ne sais dans quelle mesure ils ont été puisés dans le livre de Béatrix Beck, mais ils sont remarquables de profondeur et de justesse. Ils ont le son et le ton du véridique, pourrait-on dire, tout en paraissant étonnamment modernes si l'on tient compte de l'époque durant laquelle ils sont censés avoir été prononcés. Les propos tenus par Léon Morin, certains d'entre eux en tout cas, pourraient, aujourd'hui encore, paraître audacieux pour quelques oreilles.
Ce prêtre manque-t-il de sagesse ou de prudence en osant une proximité trop grande avec une jeune femme qui certes se montre rapidement avide d'éclaircissements quant à la foi chrétienne (elle qui, au départ, réclamait des preuves!), mais en qui grandit aussi une fascination qui n'est pas que spirituelle? Chacun en pensera ce qu'il voudra! Ce qui est sûr, c'est que cette rencontre, qui, d'une certaine façon, se doit de finir assez brutalement, aura mis en lumière deux amours: l'un qui ne peut aboutir, mais l'autre qui surpasse et englobe tout le vivant. Une scène du milieu du film l'indique fortement et en donne le sens (dans un moment tragique, devant plusieurs cercueils de fusillés): on y voit Léon Morin lire des passages de l'hymne à la Charité de la Première Lettre de Saint Paul aux Corinthiens (1Co 13, 1-13). Il n'est pas sûr du tout que Barny ait réellement trouvé la foi au contact de Léon Morin, mais à coup sûr, elle a trouvé l'amour. Sauf que ce n'est pas l'amour qu'elle avait souhaité. Léon Morin, lui, l'avait deviné ou pressenti: «cette jeune femme, avait-il affirmé, est plus proche de Dieu que la plupart de mes autres paroissiens!». Gageons qu'il avait vu juste! 8/10
4 3
Serge D.
13 abonnés 89 critiques Suivre son activité
5,0
Publiée le 10 mars 2017
Un régal ! L'affrontement entre Léon et Barny est jubilatoire.Les personnages sont très bien campés. A ne pas rater.
4 4
Soren.K
43 abonnés 28 critiques Suivre son activité
3,5
Publiée le 17 mars 2017
Un reprise très lyrique et mélancolique de "Léon Morin prêtre". Un joli film sans doute.
Porté par deux acteurs dont le talent n'est plus à prouver, l'histoire s'installe et se fait bercer pas des décors simplistes, des personnages romanesques et une atmosphère de déjà vu dont la nostalgie réussit malgré tout son emprise.
Rien de transcendant certes, mais une oeuvre d'une sérénité surprenante, sans chichis, avec quelques bavures comiques forcées mais au-delà de ça, un calme invariable règne pour le plus grand plaisir des yeux et des oreilles.
En fait, c'est une recherche d'ataraxie, pour les personnages comme pour le spectateur, un voyage un peu enjolivé qui fait tout de même son effet et laisse un semblant d'empreinte bouleversante.
Plutôt joli, oui.
3 2
Un visiteur
2,5
Publiée le 11 mars 2017
"L'amour jusqu'à l'impossible" c'est ce message qui m'a incité à aller voir le film. Le début assez touchant lorsque l'héroïne se confie au prêtre. Mais alors la première partie très longue. Rebondissement à la deuxième partie toute la révélation du sujet principal. Je signale que je n'ai pas vu Léon prêtre.
6 3
Un visiteur
1,0
Publiée le 20 mars 2017
Très déçue. Le film est ennuyeux, plutôt un téléfilm, le scénario est creux, vide et insignifiant. Une étoile pour une belle prestation de Romain Duris et Anne le Ny , sinon le film serait vraiment nul
4 3
Un visiteur
0,5
Publiée le 13 mars 2017
Que c'est poussif et je comprends pourquoi devant tant de non dit, d'interdits, d'auto-censure Freud a connu un tel succès ! L'ambivalence des sentiments, renforcée par le mauvais jeu de M.Vacth qui joue plus la petite peste boudeuse qui récite sa leçon, dans une ambiance post-sthendalienne du récit qui se déroule à la vitesse d'une huître, fait que lon souhaite deux choses : une passage à l'acte si possible avant les dix dernières minutes, sout une fin rapide du film. La confession pré mortem n'en rend que plus insupportable l'atmosphère du film.
Je conseille donc ce film aux pauvres élèves de première qui doivent préparer le bac de français. Grâce à la Confession, ils auront une synthèse du romantisme littéraire de la fin du XIX ème.
5 6
papalou
15 abonnés 225 critiques Suivre son activité
2,0
Publiée le 20 mars 2017
Je n'ai pas vu le film de JP Melville ...donc pas de comparaison possible...
Et je n'ai pas vraiment accroché.
Romain Duris est inégale et parfois même ailleurs...
Par contre Marine Vacth m'a fasciné... Sa beauté est certes envoûtante et elle porte les dialogues de son personnage de très belle manière et avec une très grande conviction.
J'y ai cru jusqu'à sa conversion....totalement mal amené .... Dommage et la cela se gate...
Point à noté : la prise de son est très pointu et sensible car il contribut a l'atmosphère intimiste de ces joutes verbales parfois murmurées... Confessionnal oblige !
En dehors de cela .... La reconstitution est anecdotique ....
3 0
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